Talent Digital : Rencontrez vos futurs clients B2B.
Avant de découvrir cet article, je vous invite à lire le précédent ici : Le Pivot.
Quand j’ai créé Talent Digital en 2018, mon objectif était d’accompagner les entreprises et les key opinion leaders (influenceurs) sur leur marketing digital, leur développement d’activité et la gestion événementielle.
Quand on me demandait ce qu’on faisait exactement, ce n’était pas si simple de répondre…
Puisque nous nous occupions de plusieurs aspects stratégiques à la fois : branding, communication, positionnement des offres, stratégie digitale, développement commercial…
Mais il y avait un point commun unique, le DIGITAL.
Quand le pivot a eu lieu, nous sommes repartis de ce point central, puisque c’est notre force.
Mais comment peut-on augmenter nos chances pour réussir le rebond ? On s’est posé quelques questions.
Dans tout l’univers digital,
- quel est le besoin principal des entreprises françaises aujourd’hui ?
- que peut-on faire qui puisse être considéré comme essentiel et non comme un maillon facultatif de la chaîne dont on peut se débarrasser quand le contexte économique devient plus challengeant ?
- que peut-on maîtriser? Sur quoi peut-on appliquer une démarche logique, évolutive et mesurer à tout instant le retour sur investissement ? Pas de mesure, pas d’amélioration.
- sur quelles compétences avons-nous des facilités grâce auxquelles nous pouvons devenir une référence ?
- qu’est-ce qu’on n’aime pas?
- quelles sont les tendances actuelles ?
- quelles sont les perspectives d’évolution globales ?
Il a été plus long d’y répondre que dans le premier article, puisqu’il fallait repasser en revue l’évolution du marché global du digital, du contexte économique, de la psychologie des entreprises et du paysage présent depuis déjà des années.
En répondant à toutes ces questions, les contours du pivot se sont dessinés et il ne restait plus qu’à assembler et positionner la nouvelle version de l’activité.
-Quel est le besoin principal des entreprises françaises hier, aujourd’hui et demain ?
*Faire du chiffre d’affaires. Vendre. Trouver de nouveaux clients. Tout ce qui peut venir après n’alimente que cet objectif principal. Même l’entreprise la plus sociale du monde, si elle n’a pas un business model viable, qui dégage du chiffre d’affaires et de la rentabilité, disparaitra plus ou moins tôt.
-Que peut-on faire dans le digital qui puisse être considéré comme essentiel et non comme un maillon facultatif de la chaîne de valeur ?
*Dans tout l’univers du digital, quels sont les aspects que nous pouvons considérer comme vitaux pour les entreprises ? Un aspect peut être considéré comme vital s’il garantit efficacement et rapidement l’objectif principal de l’entreprise, mentionné ci-dessus : vendre.
- La création d’un site internet : NON
- Les publicités digitales : OUI
- Le référencement en ligne : NON
- La création des contenus et la communication sur les réseaux sociaux : NON
- La newsletter : NON
- La prospection digitale (mailing, linkedIn) : OUI
-Que peut-on maîtriser dans le digital ? Sur quoi peut-on appliquer une démarche logique, évolutive et dans laquelle on peut mesurer à tout instant le retour sur investissement ? Pas de mesure, pas d’amélioration.
Tout ce qui se mesure s’améliore. Dans l’autre sens, si on n’a pas une maîtrise exacte et précise des différentes métriques à mesurer et à analyser, tout ce qu’on peut réaliser dans un aspect ou dans un autre ne peut être évalué.
En plus, cela comporte un risque d’inefficience inhérent dans le temps.
Ce risque peut intervenir aujourd’hui, demain ou dans soixante ans.
Cette logique serait top pour un travail créatif, tels un artiste ou un auteur publiant des ouvrages. Mais on ne peut pas se la permettre pour les aspects vitaux qui répondent au besoin principal de l’existence de l’entreprise, qui est d’être rentable et de dégager de la richesse, chaque jour, tous les jours.
Seuls quelques aspects donc du digital comportent à 100 % cette notion de mesure et de retour sur investissement, qu’il faut bien évidemment conjuguer avec d’autres notions non-ROI pour optimiser les chances d’une réussite pérenne.
-Qu’est-ce qu’on n’aime pas dans le digital ?
*Tout ce qu’on ne peut pas contrôler. Tout ce qui relève du domaine de la chance ou qui sort de notre cercle d’influence. Tous les aspects non vitaux, sur lesquels certes nous avons apporté et nous pouvons encore apporter de belles choses, mais qui ne peuvent pas garantir une viabilité à long terme.
-Quelles sont les tendances actuelles ?
*COVID is the new black ! Annulation et report des salons, des networking et des événements qui permettaient autrefois aux entreprises de se connecter et de faire du business. La majorité des PME françaises sont aujourd’hui convaincues qu’il faut se mettre au digital, mais la question est : de quelle manière ?
Enfin, quelle est la stratégie économique de l’État français ? Dans quelle direction veut-il pousser son vivier économique ? Et là encore, la digitalisation est devenue une nécessité et plusieurs aides et fonds ont été créés au niveau national et régional pour accompagner les entreprises françaises dans l’accélération de leur digitalisation et dans la transition pour reprendre la croissance et la rentabilité, voire plus. (Envoyez-nous un mp si ce sujet vous intéresse)
J’ai partagé avec vous à ce stade l’acheminement détaillé de notre nouveau positionnement.
Rendez-vous dans le prochain article pour comprendre ce que nous proposons aujourd’hui, à qui et de quelle manière. (Mais si vous êtes impatient, l’information est déjà disponible ici : talentdigital.co 😉 )
Avez-vous déclenché de nouveaux prospects ces derniers mois via le digital ? LinkedIn ? Mailing ? Partagez vos expériences en commentaire ou en MP 😉 Taguez quelqu’un qui a envie de trouver de nouveaux prospects via le digital.
On continue d’avancer.
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